En venir à Venise ne relate pas un voyage de noces ou un quelconque minitrip all in. Il s’agit plutôt d’une tentative de provoquer des épousailles entre l’imaginaire et le réel, l’espace et le temps, le physique et le mental, la poésie et la banalité, le conscient et l’inconscient. Et d’autres oppositions que l’écriture cherche à unifier.
C’est ainsi que le comédien Tristan et la journaliste Cléo croiseront les chemins de Vivaldi, Casanova, Nietzsche, Baudelaire…
Marc Lobet, cinéaste qui a la littérature dans le sang, fait ses débuts en écriture avec un livre d’une absolue originalité, La séance de massage (Le Cri, 2003) et Après toi le désert (Le Cri, 2005). Fidèle à sa rigueur littéraire, il offre aujourd’hui à son lecteur ce «détour vénitien » qui « par la pure magie du langage, faite de foisonnement verbal et d’élégance expressive, nous fait partager des sensations qui passent pour verrouillées par l’intime. » Jacques De Decker (Le Soir)
En venir à Venise ne relate pas un voyage de noces ou un quelconque minitrip all in. Il s’agit plutôt d’une tentative de provoquer des épousailles entre l’imaginaire et le réel, l’espace et le temps, le physique et le mental, la poésie et la banalité, le conscient et l’inconscient. Et d’autres oppositions que l’écriture cherche à unifier. 
