« Paspalum » est le nom de la plante robuste qui tapisse les jardins des tropiques. Ses racines rampantes préservent le sol de l’érosion et supportent la sécheresse. Il est un symbole de résistance, mais aussi de possession des terres. Nous observons la nature à travers le regard d’un enfant : du haut de son arbre, il guette le monde. Sur le lac, sur les pistes ou dans l’attente des premières pluies, tous ses sens sont en éveil. Nous sommes au Kivu, en 1960. Inexorablement, ce décor idyllique se lézarde. Diogène, un compagnon, disparaît…
Claudine TONDREAU (Mons, 1949) a passé une dizaine d’années au Congo et au Rwanda, durant les années soixante-dix et quatre-vingts. Elle en a ramené les images intimistes et nostalgiques de Paspalum où la nature, en correspondance permanente avec les événements, joue un rôle prépondérant. Sa nouvelle Baptista des Caraïbes a remporté le prix 2002 du Parlement de la Communauté française de Belgique (Maison de la Francité). L’auteur signe ici un premier roman d’une poésie envoûtante.
« Paspalum » est le nom de la plante robuste qui tapisse les jardins des tropiques. Ses racines rampantes préservent le sol de l’érosion et supportent la sécheresse. Il est un symbole de résistance, mais aussi de possession des terres. Nous observons la nature à travers le regard d’un enfant : du haut de son arbre, il guette le monde. Sur le lac, sur les pistes ou dans l’attente des premières pluies, tous ses sens sont en éveil. Nous sommes au Kivu, en 1960. Inexorablement, ce décor idyllique se lézarde. Diogène, un compagnon, disparaît…
