Marie NICOLAÏ, grâce à son « art du trait » (Georges Sion, Le Soir), nous dépeint avec humour et réalisme, grâce à un récit nourri de rebondissements, les milieux de la maroquinerie, qu'elle connaît bien. Elle tient à préciser en début de volume que toute ressemblance avec deux maroquineries célèbres, lune belge, lautre française, est volontaire et due à lintérêt de lauteur pour ce grand artisanat.